Porridge salé au gouda

Autant je me prépare souvent des sortes de porridges sucrés, ou plutôt des omelettes sucrées dans lesquelles j’écrase un morceau de banane et j’ajoute des flocons d’avoine, du cacao et un beurre d’oléagineux, mais je n’avais jamais testé encore le porridge salé. Et bien c’est chose faite ici, avec cette première recette bien gourmande. Et j’ai déjà réitéré l’expérience en testant d’autres associations et fromages à ajouter dans mon porridge. Mon dernier test était avec de la scarmoza fumée fondue, un oeuf mollet coulant sur le dessus et des dés de potimarron rôti… une tuerie je ne vous raconte même pas !!

C’est simple, rapide, efficace et surtout bien bon et tout ce qu’il y a de plus équilibré et complet, alors n’hésitez pas un instant et lancez-vous également, en mettant les ingrédients de votre choix, selon vos goûts et ce que vous trouverez dans le frigo.

Pour une petite/moyenne portion (si vous avez bon appétit, n’hésitez pas à doubler les quantités) :

30g de flocons d’avoine selon votre appétit
120 à 140mL d’eau – ou un mélange d’eau et de lait (végétal ou non mais non sucré)
1 pincée de bouillon de légumes émietté
30g de gouda (ou tout autre fromage qui vous fait envie et qui fondra bien dans le porridge chaud)
sel, poivre
Toppings et accompagnements de votre choix… ici dés de poulet, aubergines grillées, légumes racines rôtis & crumble salé en topping sur le porridge

Dans une casserole portez l’eau à ébullition avec le bouillon émietté. Ajoutez alors les flocons d’avoine et mélangez. Baissez sur feu doux et laissez « mijoter » 5 à 8 minutes pour que les flocons d’avoine absorbent le liquide ; mélangez de temps en temps pour vous assurer que cela n’accroche pas au fond. Une fois le liquide absorbé ajoutez le fromage de votre choix (râpé ou en petits morceaux) et mélangez pour le faire fondre (légèrement ou totalement).

Dressez dans un bol, et servez avec les accompagnements et légumes de votre choix, et un petit topping croquant ou croustillant, comme ici un crumble salé au parmesan. 

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Dhal de lentilles corail

Je fais très souvent des dhals, c’est un plat rapide, pratique, vegan, original avec ses épices, saveurs & couleurs, mais je n’ai jamais pris le temps de vous proposer une recette car à chaque fois j’oublie de noter mes quantités !!
Alors pour une fois j’ai pris le temps de tout noter pour vous en proposer une version.

Pour 2-3 personnes :

100g lentilles corail
1/4 d’oignon doux
1/2cm de gingembre frais (bio)
2 lamelles de curcuma frais (bio)
1 tomate
1cc d’huile de coco
10cL de lait de coco
15cL d’eau
le jus et les zestes d’1/2 citron vert
quelques brins de coriandre
1cc de curcuma en poudre
sel, piment de cayenne, poivre

Rincez et égouttez les lentilles corail.
Pelez l’ morceau d’oignon et émincez-le finement. Pelez le gingembre puis pressez-le ou émincez-le très finement avec le curcuma frais.
Lavez la tomate et coupez-la en petits dés.
Faites fondre l’huile de coco dans une sauteuse et faites-y revenir les oignons. Ajoutez le gingembre et curcuma pressés et salez. Laissez cuire quelques instants.
Ajoutez les lentilles, les dés tomates, le lait de coco et l’eau, mélangez bien puis laissez mijoter à feu assez doux pendant 20 minutes environ, en remuant régulièrement.
A la fin de la cuisson, ajoutez le jus et les zestes du citron vert et les épices (curucma en poudre, poivre et piment de cayenne à votre convenance).
Mélangez bien et servez chaud avec un bon riz par exemple.

Pour ma part je déguste aussi ce dhal froid, en salade et je trouve celà tout aussi bon.

 

 

Patate douce rôtie et fondante, sauce yaourt-avocat-citron vert

J’ai eu l’ocassion à plusieurs reprises déjà de déguster dans des restaurants de délicieuses patates douces rôties ; vous savez celles dont la chair sucrée fond littéralement dans la bouche mais avec un côté croustillant et caramélisé sur le dessus. Malgré plusieurs tentatives je n’avais encore jamais réussi à reproduire cette texture et ce fondant chez moi.
Et bien ça y est, j’ai trouvé la recette et façon de faire, et finalement pas besoin de chercher bien loin en complications !
Cette recette est très simple à réaliser pour un résultat bluffant et tellement délicieux, je vous conseille de ne pas hésiter à la réaliser, elle fera tout son effet sur votre table d’invités.
Pour 2 à 4 personnes (en fonction de si c’est un accompagnement ou un plat complet) :
2 grosses patates douces
fleur de sel, poivre
4cc d’huile d’olive
Pour la sauce :
1 avocat
100g de yaourt (brassé ici) de brebis (sojade ou autre yaourt végétal pour l’option vegan)
quelques brins de coriandre
1/2 citron vert (jus et zestes)
1cc de tahin
sel et poivre

Préchauffez le four à 200°C.
Lavez les patates douces et brossez-les (il ne faut surtout pas les éplucher car la peau va devenir croustillante et servira de « contenant » pour tenir la chair qui devient fondante). Coupez les patates douces en deux dans le sens de la longueur puis incisez-les tout du long au couteau sur plusieurs incisions.
Placez-les sur la plaque du four recouverte d’un silpat ou papier sulfurisé, badigeonnez la surface de chacune avec 1cc d’huile d’olive, salez avec une pincée de fleur de sel par moitié et poivrez. Enfournez et laissez cuire au moins 45 minutes, voire une heure selon la taille des patates douces, la chair doit être bien fondante.

Pendant ce temps de cuisson, préparez la sauce.
Lavez le citron vert et prélevez-en le zeste à l’aide d’une râpe. Pressez le jus d’une moitié et réservez.
Dans le mixeur, placez la chair de l’avocat, le yaourt, la tahin, quelques feuilles de coriandre, le jus de citron vert, du sel et du poivre et mixez jusqu’à obtenir une crème lisse. Goûtez et rectifiez les assaisonnements si nécessaire.

Lorsque les patates douces sont cuites, dressez chaque moitié dans une assiette, recouvrez de sauce crémeuse à l’avocat, parsemez de zestes de citron vert et de feuilles de coriandre ciselées.
Accompagnez d’une petite salade de mélange de pousses, et pour un plat plus complet et équilibré n’hésitez pas à ajoutez des pois chiches grillés.

Risotto de petit épeautre

Lors d’une petite virée à la boutique bio de ma maman à La Brède (Sol en Bio) j’ai eu envie de cuisiner le petit épeautre. Il ne m’a pas fallu longtemps pour trouver comment le cuisiner, car en découvrant sur plusieurs blogs des recettes façon risotto celà m’a tout de suite plu (surtout après le succès du Coquillotto ici !! ).
Pour 2 personnes en accompagnement :

100g de petit épeautre
1/2 oignon doux
10cL de vin blanc sec
1 cube de bouillon de légumes bio
75cL d’eau chaude
1cs d’huile d’olive
sel, poivre

Rincez le petit épeautre puis faites-le tremper dans l’eau froide pendant au moins 4h (si possible une nuit). Égouttez-le.
Préparez le bouillon en diluant le cube dans l’eau bouillante, réservez à petit feu.
Pelez puis émincez l’oignon. Faites chauffer l’huile dans une sauteuse et faites suer l’oignon. Ajoutez le petit épeautre et mélangez sur feu vif pendant 2 minutes. Ajoutez le vin blanc et laissez-le s’évaporer en mélangeant.
Baissez sur feu moyen, ajoutez une louche de bouillonchaud et laissez cuire jusqu’à ce qu’il soit évaporé. Versez une nouvelle louche, et ainsi de suite jusqu’à épuisement du bouillon, en mélangeant réguièrement. Comptez environ 45 minutes de cuisson (oui c’est un peu long, donc n’hésitez pas à prévoir de rester à côté).
Salez et poivrez à votre convenance, mélangez bien et servez chaud, parsemé de parmesan râpé et/ou de noisettes torréfiées.

J’ai accompagné ce délicieux risotto de jeunes pousses d’asperges vertes (c’est la première fois que je découvrais cette variété c’était une belle découverte, c’est beaucoup plus fin que les asperges vertes, ce sont des tiges très fines comme vous pouez le voir sur la photo) juste poêlées, c’était parfait pour un dîner léger mais gourmand.

Gyozas maison & bouillon asiatique

Nous avons tous eu un peu plus de temps pendant ce confinement, alors pourquoi ne pas l’occuper en cuisine ?! Et en réalisant des recettes que nous nous étions gardées de côté jusque-là, car jugées peut-être un peu longues ou compliquées.
Pour ma part j’en ai profité et pas qu’un peu : à partir de la deuxième semaine de confinement il n’y a pas un jour où je ne me suis pas mise un peu en cuisine, ne serait-ce au moins pour préparer une petite salade, et ce pour mon plus grand plaisir.

En regardant quelques Replay de « Très très bon » sur Paris Première, ma maman n’arrêtait pas de saliver sur les gyozas ; vous connaissez ces petits raviolis japonais ?
J’ai donc fini par regarder des recettes, au début juste par curiosité, puis je me suis dit « et pourquoi pas, ça ne doit pas être si compliqué ». En effet ce n’est pas très compliqué, par contre je ne vous cacherais pas que c’est assez long… J’ai dû passer en tout 4 à 5 heures en cuisine pour toutes les préparations !
Mais le résultat est là et mes parents se sont régalés, et c’est celà le plus important.
J’ai préparé deux farces différentes, une assez traditionnelle au porc et avec les légumes de saison trouvés en confinement, et une végétarienne.
Pour accompagner j’ai préparé un bouillon très savoureux aux notes asiatiques évidemment.
Pour au moins 75 gyozas :
Pour la pâte à gyoza :
300g de farine (ici semin complète BIO T110 car je n’ai trouvé que celà, mais avec de la farine blanche standard c’est l’idéal)
190g d’eau tiède
1/2cc de sel
Pour la farce au porc :
110g de farce de porc (en direct du petit boucher du village)
1/2 poireau
1 petite carotte
1/4 d’oignon
1 gousse d’ail
3cm de gingembre
2cs de sauce soja
herbes du jardin : menthe, ciboulette, coriandre
sel, poivre
Pour la facre végétarienne :
1 poireau
1 petite carotte
2 champignons de Paris (ce n’est pas très asiatique mais je vous l’ai dit j’ai fait avec les produits frais d’ici, vous pouvez mettre des shitakés pour rester dans le thème)
1/4 d’oignon
1 gousse d’ail
3cm de gingembre
2cs de sauce soja
herbes du jardin : menthe, ciboulette, coriandre
sel, poivre

Pour le bouillon asiatique d’accompagnement, la recette est par ici.

Commencez par préparer la pâte à gyozas.
Placez la farine et le sel dans un grand cul de poule et creusez un puits au centre. Versez l’eau tiède au centre et pétrissez pendant 5 bonnes minutes, jusqu’à obtenir une pâte homogène et bien lisse. Ne soyez pas inquiet si vous avez des grumeaux au départ, c’est tout à fait normal. Laissez la pâte reposer environ une heure à température ambiante.
Pendant que votre pâte repose, vous pouvez préparer la farce.

La confection de la farce à la viande et de la farce végétarienne est la même, seule changera l’ajout du porc ou des champignons à la fin.
Lavez les herbes fraîches et prélevez-en la quantité que vous souhaitez (selon vos goûts, pour ma part j’en ai mis beaucoup car j’adore celà !).
Lavez le poireau et coupez-le en deux dans la longueur puis en tronçons d’environ 3cm. Coupez grossièrement l’oignon.
Lavez la carotte, épluchez-la, puis râpez-la au robot.
Pelez l’ail et le gingembre et pressez-les à l’aide d’un presse-ail.
Placez tous les ingrédients, ainsi que la sauce soja, du sel et poivre, dans le bol du robot, muni de l’ustensile double-lame et hachez le tout.
Pour la farce végétarienne, ajoutez à la fin les champignons de Paris lavés et hachez une dernière fois.
Pour la farce au porc, ajoutez à la fin la farce du boucher et mélangez bien avec le reste des ingrédients.

Passons maintenant à la confection des gyozas. Pour former la pâte, deux techniques possibles : soit vous disposez d’une machine à pâte avec laquelle vous étalez des pâtons le plus finement possible, puis détaillez ensuite des ronds de 6 à 9cm de diamètre à l’emporte-pièce ; soit, comme moi, vous n’avez pas de machien à pâte et donc vous allez procéder à l’aide d’un rouleau à pâtisserie. Prélevez alors un boudin de pâte et étalez-le le plus finement possible au rouleau à pâtisserie, sur le plan de travail fariné. Détaillez des ronds de 6 à 9cm (à l’emporte-pièce ou à l’aide d’un verre retourné). Déposez les ronds au fur-et-à mesure sur une feuille de papier sulfurisé, attention à ne pas faire la même bêtise que moi en les superposant car ils risquent de se coller les uns aux autres. Procédez de même jusqu’à épuisement de la pâte.
Il reste maintenant à garnir vos gyozas. Placez le rond de pâte entre le pouce et l’index ; à l’aide d’une cuillère à café, mettez de la farce au centre, dans le creux formé entre le pouce et l’index. Humidifiez très légèrement les bords de la pâte avec un peu d’eau froide.Formez des « volants » avec le côté du gyoza qui est vers vous, et soudez bien les bords. Continuez ainsi pour les autres gyozas, jusqu’à épuisement des ingrédients.
Faites de même avec les deux farces et réservez les gyozas au frais jusqu’à l’étape de cuisson.
Pour la cuisson, faites chauffer de l’huile d’olive dans une grande poêle à feu vif. Une fois bien chaude, placez les gyozas et faites griller 1 à 3 minutes de chaque côté (les yozas doivent être dorés). Versez ensuite de l’eau sur 1 cm (attention aux projections !), et couvrez. Laissez cuire à coeur environ 5 à 7 minutes, avant d’ôter le couvercle et de laisser l’eau complètement s’évaporer. Vous pouvez baisser le feu à moyen lors de cette étape afin d’éviter de brûler les gyozas. C’est prêt !

Les gyozas se dégustent tels quels avec de la sauce soja salée.
J’ai décidé ici de les accompagner d’un bon bouillon aux saveurs asiatiques, c’était un délice.

« Coquillotto » – coquillettes façon risotto

Nous connaissons tous le risotto, et j’ai déjà eu l’occasion de vous en proposer, décliné selon de nombreuses recettes : courgette-raisins secs, aubregine-chorizo, pesto d’épinard-saumon fumé, butternut-épinard-chorizo, poireau-citron-pavot.
Celà fait maintenant plusieurs années que le risotto a été décliné avec des coquillettes cuites à la façon d’un risotto. Je n’avais encore jamais eu l’occasion de tester, et lorsque j’ai proposé à ma maman de leur cuisiner celà dimanche soir, elle n’a pas hésité un instant ; et son verdict : « UN DELICE ma chérie !  » – « Merci ma maman chérie » ; celà fait tellement plaisir de cuisiner pour quelqu’un qui se régale.
Je vous recommande vraiment cette recette : pour petits et grands tout le monde se régalera.
A proposer soit en accompagnement, soit à accompagner d’une petite salade verte et pourquoi pas d’un oeuf poché.
Pour 3-4 personnes :

1cs d’huile d’olive
1 oignon
250g de coquillettes (bio semi-complète ici)
20cL de vin blanc sec
1 litre d’eau
1 cube de bouillon de volaille bio
1 branche de thym frais et romarin frais
50g de parmesan râpé
sel et poivre

Faites bouillir 1 litre d’eau et délayez-y le cube de bouillon avec le thym et romarin frais. Réservez-le au chaud.
Faites chauffer l’huile d’olive dans une sauteuse et faites-y suer l’oignon finement émincé sans coloration. Ajoutez les coquillettes et laissez nacrer quelques minutes en remuant régulièrement et toujours sans coloration.
Mouillez avec le vin blanc et laissez entièrement évaporer.
Versez le bouillon chaud par petites quantités à chaque fois (une à deux louches à la fois) – attendez bien qu’il soit bu par les pâtes avant d’en rajouter. Poursuivez la cuisson à feu très doux en ajoutant le bouillon au fur et à mesure qu’il est absorbé et en prenant soin de bien remuer régulièrement. Vérifier la cuisson (goûtez au bout d’une vingtaine de minutes pour tester la consistance des pâtes, en fonction de si vous préférez vos pâtes al dente ou plus fondantes) et assaisonnez de poivre en fin de cuisson.
Réservez à couvert hors du feu si vous ne servez pas tout de suite. Juste avant de servir, ajoutez le parmesan, mélangez et servez.

Lasagnes « traditionnelles » – de confinement

Je vous avais évidemment déjà proposé une recette de lasagnes bolognaise sur mon blog, mais comme j’ai profité d’être à Bordeaux en confinement j’ai pris le temps et le plaisir d’en refaire ici pour le plus grand plaisir de mes parents.
Pour 6 personnes :

une quinzaine de feuilles de lasagne sèches
500g de viande de bœuf hachée (mais possible de faire moitié boeuf et moitié veau)
1 oignon doux (ou demi s’il est très gros)
2 belles carottes
2 tomates
1 conserve de tomates pelées
1 petite boîte de concentré de tomate
60g de comté râpé
30g de parmesan râpé
sel, poivre
huile d’olive
Pour la béchamel :
70g de farine
70g de beurre
50cL de lait
muscade, sel, poivre

Lavez et coupez les tomates en dés. Epluchez les carottes et coupez-les en fines rondelles.
Émincez finement l’oignon et faites-le revenir dans une poêle avec une cuillère à soupe d’huile d’olive. Ajoutez les carottes et mélangez. Une fois le tout légèrement coloré et tendre, coupez le feu.
Dans une autre poêle, saisissez juste quelques minutes la viande hachée avec une cuillère à soupe d’huile d’olive et du sel. Baissez ensuite le feu et ajoutez les dés de tomates (avec leur jus), puis les tomates pelées (avec le jus également) et le concentré de tomates. Mélangez bien, poivrez et rectifiez l’assaisonnement si nécessaire.
Ajoutez le mélange oignons-carottes et laissez mijoter à couvert à feu doux pendant 5-10 minutes..

Préparez la béchamel (ma recette par ici) et réservez.

Préchauffez le four à 180°C.
Procédez maintenant au montage des lasagnes. Dans le fond d’un grand plat allant au four déposez une fine couche de béchamel. Recouvrez d’une couche de feuilles de lasagne et à nouveau une couche de béchamel (1/3 environ). Ajoutez la moitié du mélange bolognaise et parsemez de comté (envion 15g) et parmesan (la moitié). Recouvrez d’une couche de feuilles de lasagne, puis une couche de béchamel (1/3). Versez l’autre moitié de mélange bolognaise, parsemez de nouveau de comté (15g) et parmesan (l’autre moitié), puis recouvrez de feuilles de lasagnes.
Etalez le reste de béchamel sur le dessus et parsemez le reste de comté râpé.
Enfournez et laissez cuire 30 à 40 minutes. Terminez la cuisson par quelques minutes en mode grill pour gratiner le tout et servez sans attendr avec une salade verte.

Mini penne aux blettes, gorgonzola, tomates confites & fraîches, noisettes & parmesan

Hello mes bloggeurs gourrmands !! Pour aujourd’hui ce n’est pas une recette très détaillée que je partage mais plutôt une belle assiette je trouve, préparée pour ma maman il y a quelques jours pour casser un peu de la monotonie du confinement. Alors un seul conseil : Amusez-vous et régalez-vous !
Et qu’y a-t-il de bon là-dedans ? (pour 2personnes)
des petites pennes bio
une botte de blettes
du gorgonzola coupé en dés
quelques pétales de tomates confites coupés en dés
une petite tomate fraîche (green zebra ici) coupée en quartiers
des noisettes torréfiées et concassées
du parmesan en copeaux frais
un filet d’huile d’olive
du poivre et de la fleur de sel

Et comment on prépare tout celà ?
Petit tips : si on y pense, c’est bien de placer les bols/assiettes de service dans un endroit tiède/chaud (le four préchauffé éteint par exemple) pour servir dans des assiettes chaudes !
On lave la botte de blettes en découpant les tiges en petits tronçons et en conservant les feuilles. On fait revenir à feu moyen les tiges dans une poêle avec un filet d’huile d’olive et une pincée de sel, en remuant régulièrement pendant une dizaine de minutes. On ajoute ensuite les feuilles et on continue de mélanger quelques minutes. Une fois les feuilles tendres, on ajoute les dés de gorgonzola en baissant à feu doux et on mélange ; le gorgonzola va fondre progressivement et enorober les blettes (mumm… quel délice déjà ça deonne envie de plonger dedans !).
Pendant ce temps on fait cuire les penne, al dente évidemment !! On égoutte en conservant un peu d’eau de cuisson (et oui malheureux elle est indispensable cette étape !). On ajoute un peu d’eau de cuisson des penne dans la poêlée de blettes, ainsi que les penne égouttées, on poivre et on sale avec la fleur de sel et on mélange bien le tout.
Prêt pour le dressage ??
On partage la poêlée de penne/blettes dans les deux bols de service, on parsème de copeaux de parmesan, noisettes concassées, dés de tomates confites et on dispose les quartier de tomate fraîche.Si besoin on remet un tour de moulin à poivre et une pincée de fleur de sel. Et on mange sans attendre.
Et voilà le tour est joué ! Bon appétit !

Gnocchis de potimarron au parmesan et zestes d’orange, sauce parmesan & lait de soja

Après mes quelques expériences plutôt convaincantes (je trouve) de gnocchis maison, j’ai voulu en tester cette année au potimarron. Le tout rehaussé d’un petit goût d’orange et de 4 épices pour plus de peps !
Voici mes autres recettes de gnocchis maison : gnocchis de patate douce au citron, gnocchis de châtaigne, gnocchis de céleri rave.
Gnocchis de potimarron aux zestes d'orange

Pour une cinquantaine de gnocchis (4 personnes je pense) :

500g de potimarron cuit
2 oeufs
250g de farine blanche
100g de farine de sarrasin
50g de parmesan
le zeste d’une orange non traitée
sel, poivre, 1/2cc de 4 épices
Sauce parmesan pour une petite portion (10 gnocchis) :
10g de parmesan râpé
10cL de lait de soja
sel, poivre

Lavez le potimarron, coupez-le en deux et épépinez-le. Coupez en morceaux.
Faites chauffer une grande casserole d’eau salée et faites cuire les morceaux de potimarron pendant 10 minutes environ, jusqu’à ce qu’ils soient tendres et s’écrasent en purée. Egouttez bien le potimarron. Pesez ensuite 500g de potimarron cuit et écrasez-les à la fourchette pour réduire en purée. Salez, poivrez et ajoutez le mélange de 4 épices.
Ajoutez les oeufs, le parmesan , les farines, les zestes d’orange coupés très finement et mélangez pour obtenir une pâte homogène mais pas trop collante.

Farinez le plan de travail et farinez-vous les mains. Prélevez un peu de pâte (l’équivalent d’une belle poignée dans la main) et roulez-la sur le plan de travail pour faire un boudin assez fin (1 à 1,5cm de diamètre). Déposez le boudin sur une feuille de papier sulfurisé posée sur une planche. Procédez de même avec le reste de pâte. Placez les boudins au frais, voire au congélateur une trentaine de minutes pour pouvoir découper les gnocchis plus facilement.

Découpez ensuite chaque boudin en gnocchis de 2cm de long environ. C’est à ce moment que vous pouvez choisir de travailler le visuel en faisant les stries sur les gnocchis à l’aide d’une fourchette. Si vous ne voulez pas cuire les gnocchis tout de suite vous pouvez les congeler ; vous les plongerez alors directement congelés dans l’eau bouillante pour les cuire au moment voulu.

Faites chauffer un grand volume d’eau salée. Dès que l’eau boue plongez-y la quantité de gnocchis désirée. Ils sont cuits lorsqu’ils remontent à la surface. Égouttez-les.
Dans une casserole faites tiédir le lait de soja, ajoutez-y les gnocchis égouttés et le parmesan râpé ; remuez et servez bien chaud avec quelques graines de courges sur le dessus ou des copeaux de parmesan.

Gnocchis de potimarron

Je commence à avoir réalisé plusieurs recettes de gnocchis ; j’aime tellement ça les gnocchis maison et on peut vraiment les décliner à l’infini. En voici une version au potimarron, que j’ai dégusté ici avec une sauce au bon fromage à raclette, mais libre à vous de les agrémenter d’autres parfums : je pense aussi à du bleu et des noix, ou encore quelques pousses d’épinards et un sauce au parmesan…bref laissez libre court à votre imagination.
Gnocchis de potimarron

Pour 4 personnes :

750g de chair de potimarron
170g de farine
70g de farine de sarrasin
1 oeuf
100g de parmesan
sel, poivre
1 pincée de noix de muscade

Lavez le potimarron, coupez-le en gros dés et plongez-le dans une casserole d’eau bouillante salée. Laissez cuire environ 10 à 15 minutes, jusqu’à ce que les morceaux soient tendres et s’écrasent.
Égouttez, versez dans un saladier puis écrasez le potimarron chaud avec une fourchette.
Laissez tiédir avant d’y incorporez l’oeuf battu, puis du sel et du poivre, et la noix de muscade.
Ajoutez la farine et le de parmesan.
Travaillez à la spatule en bois, puis placez cette pâte au frais une heure environ.
Retravaillez la pâte à la main, ajoutez de la farine si besoin, pour obtenir une pâte élastique (mais encore légèrement collante, sinon les gnocchis seront trop durs).
Prenez un morceau de pâte et roulez-le de façon à obtenir un long boudin. Coupez ce boudin en tronçons de 1 cm environ.
Disposez-les sur une plaque farinée en attendant la cuisson, en prenant soin de les espacer. Procédez de même avec les autres morceaux.

Faites bouillir de l’eau avec du sel dans une grande casserole.
Plongez les gnocchis dans l’eau bouillante (pas tous d’un coup, ils risqueraient de coller). Quand ils remontent à la surface, égouttez-les à l’aide d’une écumoire.
Servez avec la garniture et sauce de votre choix.